Catégories

– Pendants d’histoire

Cet article regroupe, autour de deux oeuvres de Caravage, quelques autres tableaux où le gant joue un rôle-clé, passé totalement inaperçu.

Poussin a séjourné à Paris entre 1640 et 1642, après quoi il est revenu définitivement à Rome jusqu’à sa mort en 1665. Cet article présente les pendants réalisée lors de ce second séjour.

Cet article est consacré aux quelques rares diptyques du XVème siècle qui fonctionnent sur la mise en parallèle de deux scènes sacrées.

Au XIXème siècle, avec la disparition des boiseries décoratives, les pendants perdent leur plus grand débouché. On ne les trouve plus que sporadiquement, avec des sujets qui n’ont plus rien à voir avec les standards des siècles précédents.

Dès le XVIème siècle sont explorés toute une série de sujets, dont certains deviendront par la suite des standards des pendants.

Au XVIIème siècle, les pendants mythologiques sont pratiqués par tous les artistes majeurs, italiens ou hollandais. Ce court article regroupe quelques cas isolés, chez des artites qui n’ont guère pratiqué la formule.

On trouve parmi les nombreux pendants pastoraux de Boucher tous les appariements possibles : quelques rares femmes seules, mais surtout des couples, des trios, et des groupes plus importants de campagnards idéalisés.

Ces pendants privilégient la symétrie formelle, peu importe le sujet.

La naissance des pendants mythologiques peut être datée assez précisément à partir des ouvres exposées dans le Studiolo d’Isabelle d’Este à Mantoue.

Jan Victors, élève de Rembrandt, est un peintre très mal connu. Il a peint beaucoup de scènes de l’Ancien Testament, probablement sur commande de riches marchands juifs. Parmi elles on trouve quelques pendants très originaux, dont l’appariement reste en partie mystérieux.