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Interprétations

C’est ainsi que la main de Mellan, plus sûre que celle d’Apelle, inventa le microsillon.

Constructions géométriques et syllogisme visuel…

Je viens de lire dans Centre-Presse (31 12 2011) l’article sur le linteau qu’on vient de mettre en place dans l’église de Bozouls. J’avais étudié cette pièce dans ma thèse sur La sculpture à Conques… et rapproché Bessuéjouls (t.II, p. 751 et 739. Album, fig. 680). C’est l’occasion de revoir le problème des relations avec […]

Une salle lumineuse, de larges miroirs, des dorures, deux joueurs et un buveur près de son verre… Avec Caillebotte, quatre ans après l’Absinthe de Degas, nous avons changé de quartier mais aussi d’univers…

Le plein air, la lumière du jour, les extérieurs ensoleillés, sont les ingrédients fondamentaux des peintres impressionnistes. Mais Caillebotte est peut-être celui qui a le mieux réussi, dans plusieurs oeuvres savantes et singulières, à prendre comme sujet principal du tableau cet héliotropisme, cet appétit immodéré d’extérieur.

Comme dans tout tableau comportant un miroir, se pose la question « où est le peintre ».La réponse nécessite une analyse précise de cette perspective singulièrement tarabiscotée, et va nous entraîner dans des réflexion en abymes.

Après avoir trouvé où est Gustave, nous allons nous livrer à une dernière spéculation, quelque peu théorique : comment voit-il ?

L' »Absinthe » a fait scandale en son temps autant pour le caractère sulfureux du sujet que pour sa composition résolument avant-gardiste.

Pour analyser les forces contradictoires qui travaillent l’oeuvre de l’intérieur, nous allons demander leur opinion à quatre spécialistes : un témoin de l’époque, un prof, un psy et un philosophe.

Scoop : Le copain de Montmartre nous signale qu’il a encore quelques petites idées…