Cher Jacques Bousquet,
Le plus grand des hasards internautiques m’amène jusqu’à votre page. Ce qui me permet de vous adresser un souvenir amical et reconnaissant.
P. Ch.
Cher Monsieur ,
Que de souvenirs , depuis Espalion . En Aveyron certainement
vous êtes au centre de mes meilleurs souvenirs . Les temps changent et les gens aujourd’hui sont pressés par toutes sortes d’obligations . Merci pour ce site que votre fils anime et auquel vous partipez . Meilleures pensées les plus amicales possibles . Pierre Dijols
D’un château l’autre… pour reprendre une formulation célinienne. Ce qui me remet en mémoire une digression oiseuse que j’avais glissée dans une copie d’examen (Art Médiéval, classe de licence, UPV 1979-1980) et qui avait bien amusé M. Bousquet. Il était (bêtement) question de la symbolique (soi-disant) phallique des donjons moyen-âgeux. On est toujours un peu stupide quand on est étudiant. Enfin… c’était mon cas. Cherchant ces jours-ci des renseignements sur les travaux du regretté Robert Saint-Jean (je voulais savoir s’il avait publié jadis quelque chose sur la tribune monastique de Serrabonne), je me suis alors souvenu de M. Bousquet auquel je me permets d’adresser un salut amical. Pas sûr qu’il se souvienne de moi (il y a déjà trente-cinq ans…) mais pour ma part je ne l’ai pas oublié. Et j’ignorais tout à fait qu’il avait travaillé sur Le Caravage.
Avec ma sympathie
Alain Pailler
Cher Jacques Bousquet,
Le plus grand des hasards internautiques m’amène jusqu’à votre page. Ce qui me permet de vous adresser un souvenir amical et reconnaissant.
P. Ch.
Cher Monsieur ,
Que de souvenirs , depuis Espalion . En Aveyron certainement
vous êtes au centre de mes meilleurs souvenirs . Les temps changent et les gens aujourd’hui sont pressés par toutes sortes d’obligations . Merci pour ce site que votre fils anime et auquel vous partipez . Meilleures pensées les plus amicales possibles . Pierre Dijols
Merci puor votre travail, sur le pont de Narni in Italie,
regardez aussi
http://www.narnia.it/narni_fr.htm
Merci
D’un château l’autre… pour reprendre une formulation célinienne. Ce qui me remet en mémoire une digression oiseuse que j’avais glissée dans une copie d’examen (Art Médiéval, classe de licence, UPV 1979-1980) et qui avait bien amusé M. Bousquet. Il était (bêtement) question de la symbolique (soi-disant) phallique des donjons moyen-âgeux. On est toujours un peu stupide quand on est étudiant. Enfin… c’était mon cas. Cherchant ces jours-ci des renseignements sur les travaux du regretté Robert Saint-Jean (je voulais savoir s’il avait publié jadis quelque chose sur la tribune monastique de Serrabonne), je me suis alors souvenu de M. Bousquet auquel je me permets d’adresser un salut amical. Pas sûr qu’il se souvienne de moi (il y a déjà trente-cinq ans…) mais pour ma part je ne l’ai pas oublié. Et j’ignorais tout à fait qu’il avait travaillé sur Le Caravage.
Avec ma sympathie
Alain Pailler