3 Le globe solaire
Dans quelques cas bien repérés, le globe ne représente pas la Terre, mais le Soleil.
Article précédent : 2 Les anges aux luminaires
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Le globe d’Hélios à Rome
Apollon-Hélios provenant de la Casa Appoline, Pompéi, Musée National, Naples
Dans la fresque de Pompéi, Hélios-Appolon auréolé et couronné de sept rayons tient :
- d’une main le fouet de son char,
- de l’autre le globe bleu du cosmos marqué du khi platonicien (équateurs terrestre et céleste, voir Majestas Dei et astronomie ).


Antoninien d’Aurélien (270-75)
Lorsque Aurélien introduit dans l’Empire le culte unificateur du Soleil invaincu (sol invictus), celui-ci est représenté piétinant ses ennemis,
- soit en combattant, tenant une torche et un arc,
- soit en vainqueur, levant le bras droit et tenant dans la gauche le globe du pouvoir.
Antoninien de Probus, 276-282.
Sous Probus est attribué à Sol invictus l’iconographie du char d’Hélios. Le dieu est debout, tenant de la main gauche la lance et le bouclier (ce n’est pas un globe).
Synthèse sur le globe d’Hélios, à Rome :
- il a été conservé presque uniquement sur des monnaies ;
- il n’est jamais présent lorsqu’Hélios est figuré sur son char ;
- il n’est jamais marqué d’une croix, sauf tout à la fin, à l’époque de la conversion de Constantin.
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Le globe d’Hélios à Byzance
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Le Soleil Pantocrator, le Zodiaque et les Saisons
Mosaïque de Maltezana, Analipsi (Ile d’Astypalaia), 5ème siècle.
Hélios est ici représenté en buste avec sa couronne à sept rayons, toujours avec sont fouet dans la main droite et son globe bleu céleste dans sa manche gauche. C’est un des tous premiers exemples d’une composition nouvelle (où du moins dont il ne reste aucune trace païenne) : le Soleil au milieu du cercle du Zodiaque, avec les quatre Saisons aux écoinçons.
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Le globe d’Hélios en Palestine
Mosaïque de Hamat-Tiberias (seconde synagogue), fin du 4ème siècle
On retrouve cette composition dans plusieurs synagogues de la Palestine byzantine, entre le 4ème et le 6ème siècle. Le médaillon central reprend l’iconographie du Sol invictus sur son char, avec son auréole, ses sept rayons et son fouet.
Cette représentation figurée et antiquisante, très surprenante dans un contexte spécifiquement juif, a fait l’objet d’interprétations contradictoires [0] :
- appropriation locale du Sol Invictus pour représenter Dieu, un des exemples de l’imprégnation juive de l’époque par la culture gréco-latine – les inscriptions de la mosaïque sont en grec (Erwin Goodenough) ;
- bien au contraire, preuve d’un séparatisme juif par rapport aux Chrétiens qui rejetaient comme païenne la représentation du Zodiaque (Steven Fine, « Art and Judaïsm », 2010).
Après avoir résumé les cinq principales interprétations, Benjamin W. Anderson ([1], p 66 et ss) rappelle la description par Flavius Josèphe du temple d’Hérode :
« Les sept lampes (tel était le nombre des branches du chandelier) représentaient les planètes, puisqu’elles surgissaient en même nombre du candélabre ; les pains sur la table, au nombre de douze, le cercle du zodiaque et l’année ; tandis que l’autel des parfums, par les treize épices odorantes dont il était rempli, venant de la mer des terres inhabitables et inhospitalières, signifiait que toutes choses sont de Dieu et pour Dieu. » Josephus, Bellum Judaicum, V.210-218
J’emprunte à Anderson sa conclusion raisonnable :
« tandis qu’il n’y avait aucune raison particulière de représenter le zodiaque ou d’autres iconographies ptolémaïques à l’intérieur des églises de l’Antiquité tardive, le souvenir du temple d’Hérode et la libéralisation croissante des attitudes juives envers les arts figuratifs, à cette époque, suffisent à expliquer la présence du zodiaque dans ces synagogues. »
Reste le point qui nous intéresse : la mosaïque de Hamat-Tiberias est le tout premier exemple du soleil debout sur son char et tenant un globe bleu, qui plus est quadriparti. Le contexte juif excluant toute référence à la croix, cette quadripartition mérite explication.
Le globe quadriparti d’Hélios
Denier de Domitien, 88-96 |
Constance II 348-351 RIC 129 (VIII, Antioche) |
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- Dans le contexte païen de la monnaie de Domitien, le croisement orthogonal des deux équateurs n’est qu’une variante (rare) du khi platonicien ;
- Dans la monnaie de Constance, il devient un symbole christique, associé au Phénix de la Résurrection.
Une représentation hébraïque du Firmament (SCOOP !)

Comme dans les monnaies romaines, le globe quadriparti garde sa valeur astronomique : on distingue d’ailleurs, à l’intérieur des quadrants, un motif en étoile (six points dorés autour d’un septième).
Mais pourquoi alors avoir rajouté, à l’extérieur de la sphère, un couple croissant / étoile qui n’apparaît dans aucune monnaie romaine ? On trouve quelquefois une étoile isolée (monnaie de Constance II) ou bien, dans le cas très particulier du Denier de Domitien, les sept étoiles de la Grande Ourse (voir 1 Epoque romaine).
Ce détail a en fait une grande importance. Il prouve que le globe ne représente pas seulement la sphère céleste, royaume du dieu Hélios ; mais qu’il a été récupéré pour illustrer un concept spécifiquement hébraïque : le Firmament tel qu’il est décrit dans la Génèse, peuplé au quatrième jour par les étoiles et les deux luminaires :
« Dieu dit: » Qu’il y ait des luminaires dans le firmament du ciel pour séparer le jour et la nuit; qu’ils soient des signes, qu’ils marquent les époques, les jours et les années, et qu’ils servent de luminaires dans le firmament du ciel pour éclairer la terre. Et cela fut ainsi. Dieu fit les deux grands luminaires, le plus grand luminaire pour présider au jour, le plus petit luminaire pour présider à la nuit; il fit aussi les étoiles » Génèse, 14, 18.
Ainsi la figure centrale, si proche en apparence d’Hélios, a été récupérée de manière transitoire pour représenter Dieu créateur du Monde. Cette iconographique spécifiquement juive a totalement disparu par la suite.
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Le Ptolémée du Vatican
Ce manuscrit byzantin exceptionnel, réalisé durant l’iconoclasme, est actuellement daté des années 750. Des indices dans les tables numériques laissent penser qu’il recopie un modèle plus ancien, sans doute du 4ème siècle. Je m’appuie encore ici sur les éléments présentés par Benjamin W. Anderson dans sa thèse [1].
Table du Soleil
Vers 750, Tables faciles de Ptolémée, Vat. Gr. 1291 fol 9r
Cette table montre, sur trois anneaux concentriques, les douze signes du zodiaque, les douze mois personnifiés et des figurines nues, blanches et noires, symbolisant le jour et la nuit. Le diagramme était valable pour une année seulement (impossible malheureusement à déterminer précisément) et indiquait, par exemple, que « le soleil entrerait dans le Bélier le 20 mars, vingt minutes après la fin de la cinquième heure du soir ». ([1], p 110).
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Médaillon de l’empereur Maurice Tiberius (Détail de la ceinture de Kyrenia) vers 583, MET, New York |
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Le médaillon central est très comparable à certains médaillons impériaux byzantins. Hélios, avec sa couronne à sept pointes, tient dans sa manche gauche un globe bleu et un fouet, qui se recourbe deux fois pour suggérer, de manière sans doute délibérée, une sorte de croix patriarcale ([1], p 108). Le timon du char (absent sur le médaillon de Maurice Tiberius) est une autre trouvaille élégante permettant de christianiser la vieille formule du « sol invictus »
De même que l’Empereur byzantin porte le globe de son pouvoir terrestre (ici surmonté d’une Victoire offrant une couronne de lauriers), de même le Dieu solaire porte l’emblème de son royaume céleste, dont tout au long de l’année il visite les douze provinces.
« Il serait certainement faux de décrire la figure centrale de la table du Soleil comme un portrait de l’empereur régnant (donc de Constantin V). Mais on peut à juste titre la décrire comme une représentation de la fonction impériale dans toute sa portée cosmique. Ainsi la tension entre la loi cosmique intemporelle et la spécificité d’une année donnée, que traduit l’ensemble de la table solaire, se retrouve dans la figure centrale, à la fois soleil cosmique et basileus terrestre, ce dernier plus comme principe que comme personne. Cela peut difficilement être un accident. Nous avons répété ci-dessus les raisons de croire que le Ptolémée du Vatican était une commande impériale. » ([1], p 111).
Table du Soleil, fol 9r |
Table de la Lune, fol 47r |
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Le manuscrit contient un diagramme jumeau, dédié à la Lune et permettant le calcul des épactes (nombre de jours à ajouter à l’année lunaire pour qu’elle soit égale à l’année solaire). Aux quatre chevaux correspondent deux boeufs, dont les cornes font écho au croissant du diadème. Séléné tient un fouet dans la main droite et probablement les rênes dans la main gauche. La présence de cette image jumelle invite à ne pas inverser les termes : l’artiste n’a pas cherché à représenter Hélios en empereur byzantin, mais a repris des figurations bien établies de Séléné et d’Hélios, cette dernière ayant par ailleurs été récupérée par l’iconographie impériale.
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Le globe solaire médiéval
Sol, p 107 |
Luna, p 106 |
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10ème siècle, Saint-Gall, Stiftsbibliothek, MS 902
Côté occidental, on trouve dans ce manuscrit carolingien pratiquement les mêmes figures (avec des torches à la place des fouets), preuve de la large diffusion de la formule.
Le Soleil et la Lune
Phénomènes d’Aratus, traduction par Germanicus, vers 1000, Boulogne, BM MS 088 fol 32v
Les illustrations de ce manuscrit recopient un manuscrit carolingien de l’époque de Louis le Pieux (814-40) [2]. Cette page n’y figure pas, mais il pourrait s’agir d’une page disparue, auquel cas cette figuration serait pratiquement contemporaine du Ptolémée du Vatican. La Lune suit cependant un modèle différent : son char est vu de côté et, au lieu du fouet habituel, elle tient à deux mains un grand calame. Les illustrations ne suivent pas le texte d’Aratus [3], ce qui rend ce détail impossible à expliquer.
Une autre particularité est que les chevaux d’Hélios sont identifiés individuellement, par un extrait d’un commentaire de Stace par Lactance [4], décrivant de droite à gauche les quatre chevaux. Juste avant cet extrait, le texte de Lactance précise :
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On dit que Phébus a quatre chevaux, dont les noms sont Zantheus, Zantus, Etheus et Dios. Soit les quatre saisons de l’année, soit les quatre commutations du jour : par là, ces noms mêmes montrent comment le soleil change selon les heures du jour. |
Quattuor equos fertur habere Phoebus; quorum nomina, haec sunt, Zantheus, Zantus, Etheus et Dios. Vel quattuor tempora anni vel quattuor commutationes diei; unde et ipsis nominibus ostenditur quomodo sol muteter per diurnas horas. |
Sol, fol 164r |
Luna, fol 187r |
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Astronomica d’ Hyginus, 1055-56, copié à Ripoll, (c) Biblioteca Apostolica Vaticana Reg lat 123
Dans cette copie catalane, la Lune tient une torche à la main gauche, comme dans le manuscrit de Saint Gall, et un fouet dans la main droite. Pour le Soleil en revanche, le copiste a rompu la symétrie et remplacé le fouet par un fleuron. Il ne s’agit pas d’une erreur – puisqu’il a très bien compris la torche et le fouet de la Lune – mais d’une modification intentionnelle : le globe, non plus bleu mais gris, a été probablement compris comme une figure de la Terre, florissante grâce au Soleil.
La tapisserie de Gérone
Dies solis |
Dies Lunae |
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Tapisserie de la Création, vers 1100, cathédrale de Gérone
Selon plusieurs auteurs, c’est le manuscrit de Ripoll qui aurait inspiré les figures de part et d’autre de cette grande tapisserie de la Création, toujours avec les quatre chevaux pour le Soleil et deux boeufs pour la Lune.
Le Soleil est représenté tenant son sceptre et son fouet dans sa main droite, et dans sa main gauche un globe marqué d’une petite croix. On l’explique en général par la nécessité de christianiser une figure païenne [5], étrange nécessité qui ne s’était jamais manifestée auparavant. Si l’on remarque que l’apparition de cette croix s’accompagne de celle des roues à quatre rayons, il est logique de penser que l’artiste a plutôt voulu insister, par ces quaternités, sur le rôle du Soleil comme maître des Saisons (idée qui était d’habitude seulement portée par les quatre chevaux). Le globe aurait donc ici un sens cosmique limité : le royaume du Soleil, mais réduit à la gestion des Saisons.
Annus
En haut au centre de la tapisserie, Annus porte lui-aussi un disque dans sa manche gauche, qui est clairement la roue de l’Année, avec ses douze points sur le pourtour. Le bâton dans sa main droite et son manteau de voyageur soulignent sa marche perpétuelle ([5a], p 66).

Hansueli F. Etter [6] explique la place insolite du Soleil, entre les mois de Février et de Mars, par le fait que c’est le moment de l’année où les jours commencent à rallonger. Il remarque aussi que les trois médaillons forment un triangle équilatéral autour de la roue centrale, qui illustre la Création du Monde. Les numéros indiqués sont ceux des jours de la Genèse : on notera que le troisième est manquant (la Création de la Terre et des plantes) et qu’ils ne se suivent pas, mais sont plutôt disposés selon des symétries gauche-droite et haut-bas. Sur cette disposition très inhabituelle, qui témoigne d’une recomposition en profondeur, voir l’étude de Jacques Paul [7].
A noter que le médaillon marqué en orange contient une seconde occurrence du couple Soleil/Lune, en buste :
Il s’agit ici d’illustrer le Jour 4 : la création des deux luminaires, ainsi que des étoiles, venant peupler le firmament qui a été créé au jour 2.
Mais le plus grand mystère de la tapisserie de Gérone reste sa composition d’ensemble, puisque tout la partie inférieure manque : il est clair en tout cas que le cycle de la Création ne se situe pas au centre de la tapisserie, mais seulement au centre du registre supérieur, le registre inférieur étant perdu.
La reconstruction de Swanson
Parmi toutes les reconstructions proposées, celle de Rebecca Swanson ([8], p 210 et ss) est la plus simple et la plus convaincante :
- aux angles les fleuves du Paradis (en bleu sombre) ;
- sur les côtés, les mois (en bleu clair) dans l’ordre des aiguilles de la montre ;
- en haut, Annus au centre des quatre saisons ;
- en complément, deux héros, Samson et Hercule, représentant une constellation de Printemps (le Bouvier) et une constellation d’Eté (Hercule) ; deux autres constellations (en rose) auraient figuré en bas, par symétrie.
Pour le bord inférieur, Swanson présume qu’une autre quaternité aurait fait pendant aux Saisons du haut, et propose les quatre Eléments (en gris), autour d’un médaillon central restant à déterminer.
Une autre reconstruction (SCOOP !)

J’ai représenté ici ma propre proposition, qui s’appuie sur le fait que les médaillons latéraux ne représentent pas le Soleil et le Lune astronomiques, mais « DIES SOLIS » et « DIES LUNAE », les jours de la Semaine associés à ces dieux antiques . Or le manuscrit de Ripoll comporte justement, dans les pages qui suivent les médaillons SOL et LUNA, cinq autres médaillons représentant les autres planètes, personnifiées à la mode antique (fol 170 a 174 [9] ) .
La tapisserie aurait ainsi comporté, dans son registre inférieur, un second cycle disposé dans l’ordre des aiguilles de la montre (en jaune) : celui des sept planètes, ou plutôt des sept jours de la semaine.
Ainsi la tapisserie de Gérone permettait de contempler deux cycles :
- en haut celui des Mois entourant la Grande Semaine de l’Ancien Testament, la Création (en bleu clair), celle-ci recomposée selon des symétries en croix (en vert) ;
- en bas celui des Jours entourant l’Invention de la Croix, en référence à la semaine-glé du Nouveau Testament : la semaine sainte, entourant les scènes de l’Invention de la Croix.
Autres globes solaires médiévaux
Scholium de duodecim zodiaci signis et de ventis, 1050-1100, BNF Latin 7028 fol 154 .
On retrouve ici le même diagramme, facilement christianisé en modifiant, du salut à la bénédiction, le geste de la main droite. La couronne à sept rayons a été remplacée par une couronne à douze rayons, évoquant les mois mais aussi les apôtres. Quant au globe « céleste et impérial », il est ici marqué d’une étoile à huit branches , le symbole habituel du Soleil dans les computs ([10], p164) : manière de signifier qu’Hélios est désormais subordonné à Christos.
Bianca Kühnel ([10], p167) s’étonne qu’une telle image synthétique, fusionnant les deux figures du Christ (au centre des quatre évangélistes) et d’Hélios (au centre des quatre saisons) ne soit pas apparue avant cette date relativement tardive.
J’ai montré par ailleurs (voir Majestas Dei et astronomie) que la Majestas Dei du Codex aureus de Saint Emmeran effectuait cette synthèse dès l’époque carolingienne, mais d’une manière allusive et poétique, dans un manuscrit de grand luxe destiné à la cour. Sans doute la synthèse ostensible d’attributs païens et chrétiens aurait-elle été jugée scandaleuse dans des cercles moins érudits.
Bianca Kühnel ([10], p 169) fait l’hypothèse intéressante que la fusion des deux types de schémas, astronomiques et religieux, au tournant de l’an mil, aurait à voir avec les grandes peurs eschatologiques qui caractérisent cette période.
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Dieu créateur (Frontispice de la Genèse)
Bible de saint Castor de Coblence, 1100-25, Pommersfelden, Schlossbibliothek, Inventar-Nr. Cod. 333-334
Le même globe solaire à huit rayons, complété par l’inscription « Fiat lux », représente ici le Cosmos au moment de sa création. L’image respecte les trois zones classiques des Majestés ottoniennes (voir 1 Mandorle double dissymétrique) :
- la Terre,
- le Ciel (en bleu, sous l’Arc en Ciel)
- le Ciel du Ciel (en vert), lieu de l’Eternité où résident les anges aux encensoirs et les lettres alpha et omega.
Le texte du haut commente cette zone immuable :
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Ici (sur cette enluminure) la création des choses a donné à tous son être propre. |
Omnibus esse suum dedit hic conceptio rerum |
Le texte du bas s’applique à la zone sous l’arc-en-ciel, zone des mouvements réglés par le Seigneur-Soleil :
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L’année instable court sur ses traces. Le jour lui-même n’est rien sinon la présence du Soleil. |
Annus non stabilis sua post vestigia currit. Ipse dies nichil est nisi quod presentia solis. |
Frontispice de la Genèse
1055-86 Bible de st Hubert BRB MS II 1639 fol 6v Bruxelles
Cette illustration est intéressante pour ses deux petits globes, chacun ayant une signification différente.
Autour du Christ, les quatre médaillons représentant les Eléments sont organisés, de haut en bas, dans l’ordre croissant du « poids » que Platon leur attribue dans le Timée :
- le Feu (poids VIII) tient dans ses mains le croissant de la Lune et le globe du Soleil ;
- l’Air (poids XII) tient un cor symbolisant les vents et un globe représentant « le ciel supérieur qui, selon Adalbold, est joint à la convexité de la sphère céleste » ([11], p 226) ;
- l’Eau (poids XVIII) tient une rame et un vase qui se vide ;
- la Terre (poids XXVII) tient une bêche et un plant.
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Article suivant : 4 Paires de globes
Textes de l’image :
Nam Zantheus interpretatur rubeus et mane sol rubet.
Xantus floridus; et tertia hora diei sol quasi floret dum inquo (in quartam) profectus est.
Etheus aereus est in meridie sol igneus et ferventior videtur et ideo quasi aereus.
Dios clarus et nona hora descendente sole clarior liquet esse


Denier de Domitien, 88-96
Constance II 348-351 RIC 129 (VIII, Antioche)
Médaillon de l’empereur Maurice Tiberius (Détail de la ceinture de Kyrenia) vers 583, MET, New York
Table de la Lune, fol 47r
Sol, p 107
Luna, p 106
Sol, fol 164r
Luna, fol 187r
Dies solis
Dies Lunae
Antependium de Bâle, 1015-23, Musée de Cluny (détail).
Sacramentaire du moine Ratmann (reliure), 1159, Trésor d’Hildesheim
L’Empereur Heinrich V, Châsse de Charlemagne, 1182-1215, Cathédrale d’Aix la Chapelle
Christ en majesté, Châsse de Notre-Dame de Tournai, Nicolas de Verdun, 1205
Dieu envoyant l’Archange Gabriel à Marie, fol 12v
Majestas Dei, fol 14
Dieu acclamé par les Vieillards, Apocalypse Douce, 1265 -70, Bodleian Ms180 fol 039
Bréviaire de l’abbaye de Chertsey, vers 1300,Bodleian Library MS. Lat. liturg. d. 42 fol 11r
Missel du cardinal Bertrand de Deux, 1335, Vat Arch. Cap.S.Pietro.B.63 fol 188v
Détail
Traité d’astrologie et de médecine, vers 1450, UB Tübingen MD 2 fol 322v
Fresques 11ème siècle 

Fresque du XIIIème
Fresque du 13ème, refaite au 19ème


Archange, Ivoire byzantine, 525-550, British Museum
Solidus de Magnus Maximus, 383-84, British Museum
Diptyque de Murano (détail), 500-550, Museo Nazionale, Ravenne
Mosaïque de Cefalù, avant 1148
Jugement particulier, 1263, San Pellegrino, Bominaco
Angelus Domini 

Chasse de St Héribert 1146-60 , église de Deutz (Cologne)
La même châsse présente sur un des pans du toit d’autres possibilités de combinaisons, dans les émaux comme dans les figures en repoussé.
Phylactère mosan, 1160-70, Cleveland Museum of Art
Petit triptyque Dutuit, vers 1150, Petit Palais
Croix mosane 1150-75 Walters art museum Baltimore
Abside, 1100-20, église de Tavant (photo J.Mossot, structurae.net)



12eme, Le Créateur entre Lucifer et St Michel, BSB Ambrosius Ambrosii hexaemeron libri VI – BSB Clm 14399 fol 1v
Hortus deliciarum, 1159-75, dessin de Christian Moritz Engelhardt (1812), dans R. Green, Herrad of Hohenbourg: Hortus Deliciarum, fol 3v
Fol 8v, Apocalypse de Trèves, codex 31
Fol 4v,Apocalypse de Cambrai, BM Ms 386
Fol 33r, Apocalypse de Trèves, 800-50, Staatsbibliothek Trier Cod 31
Fol 23,Apocalypse de Cambrai, BM Ms 386
Fol 61r, Apocalypse de Trèves, 800-50, Staatsbibliothek Trier Cod 31
Fol 43, Apocalypse de Cambrai, BM Ms 386
1060, BNF 12117, fol 106v
Vers 1150, Allemagne MS. Bodleian 352 fol 5v
Vers 1150, Allemagne MS. Bodleian 352 fol 6r
Frontispice du Cantique des cantiques, Reichenau, vers 1000, Bamberg Staatsbibliothek Bibl.22 fol 5r
Les sept enfants noirs qui s’abritent sous son manteau illustrent le verset 5 « Je suis noire mais belle, filles de Jérusalem » tel qu’interprété par Alcuin :


Staurothèque de Mettlach (revers) , 1200-46, Eglise Saint Liudwinus, Mettlach

Cène ou repas à Emmaüs, diptyque en cinq parties, fin 5ème siècle, Musée du Duomo, Milan
Sacramentaire de Fulda, 975, 2 Cod. Ms. theol. 231 Cim., fol. 113r Niedersachsische Staats- und Universitätsbibliothek, Göttingen
Sacramentaire de Fulda, 1000-10, Msc. Lit. 1, Staatsbibliotek, Bamberg
Les sept anges aux sept plaies
12ème siècle, Saint Nectaire
Psautier d’Eadwine , 1155-60,

Daniel et Habacuc

fol 2v
fol 2r
Missel à l’usage de Paris, vers 1220, BNF Lat 1112 fol 103r
Missel de St Maur, vers 1220, BNF Lat 13247 fol 133
Flabellum de Tournus, vers 870 Bargello, Florence
Psautier d’Hermann de Thuringe, réalisé à Hildesheim, 1211-13 Stuttgart Landesbibliothek HB II 24 fol 176v
Fol 177r (détail)
Le Paradis avec le Christ dans le sein d’Abraham, vers 1239, NGA, Washington (détaché du Psautier de Hildesheim, BNF NAL 3102, avant fol 147)
La Chute et la Perturbation des Eléments, fol 4r
Cieux et mondes nouveaux, Vision 12, fol 224v


Adoration des Mages (portail occidental)
Adoration des Mages
Adoration des Mages
Adoration des Mages
Adoration des mages
Adoration des mages
Adoration des mages
Adoration des mages
Adoration des mages
Adoration des mages 
p 24
p 28
Incipit du Livre XV, fol 118r
Incipit du Livre XXI, fol 199v
Incipit du Livre XIV, fol 107r
Incipit du Livre XVIII, fol 157r
Incipit du Livre XX, fol 185v
Les rois Salomon et David
Dialectique et rhétorique d’Alcuin (Albinus Flaccus), 850-75, Zurich, Zentralbibliothek, Ms. C 80, f. 83r – ecodices
Sorte de schéma auto-référentiel, le globe explique comment lire l’ensemble, et confirme le caractère très théorique de l’image.
La Sagesse entouré par les quatre Vertus, fin 9ème, Evangiles de Cambrai BM 0327 (0309) fol 16v, IRHT
Première Bible de Charles le Chauve.
Charles le Chauve (détail)
Sapientia, Bible, vers 1025-50, Arras BM 0435 (0559), vol. 3 fol 1r, IRHT
Bible de Jumièges 1075-1100 Rouen, BM, 0008 (A. 006) fol 221v, IRHT
Bible de Fleury, vers 1150, Orléans BM 0013 (010) p 112, IRHT
Bible de Chartres 1140-1160, BNF Lat 116 fol 13v, Gallica
Salomon, fol 24v
Sapientia, fol 29v
Sapientia (une des huit Vertus)
Sapientia (entre de la face arrière)
Le Christ et Marie
Les rois Josué et Ezéchiel
Vierge d’Or d’Essen, 

Ordo ad Pueros consignando omnipotens, Pontifical de Cambrai, c.1050, Cologne DDB, Cod. 141, f.5v
Pour la purification de Sainte Marie, fol 82v
Adesto domine, fol 33r

Sedes Sapientiae, vers 1150, Région mosane, Musée Grand Curtius, Liège

Vierge à l’Enfant
Madone de Siegburg
Fol 247
Fol 261
Assomption de Marie
Augustin, Enarrationes in Psalmos ci-cl, 1130-40, Bodleian Library MS. Bodl. 269 fol 3r.
Sedes Sapientia, 1145-55, Haut de la verrière de l’Enfance du Christ, Cathédrale de Chartres
L’Adoration des Mages, troisième registre
Reliquaire provenant d’Hildesheim, 1150-1200, Vatican, Museo sacro Inv N° 849
Phylactère de St Martin (détail), 1230, Trésor d’Oignies, Musée de Namur
Assomption de Marie
Assomption de Marie, Pontifical à l’usage de Mayence milieu 13ème s, BNF Lat 946 fol 117v
Couronnement de Marie,
Vierge médiatrice, façade occidentale, 1095-1130, Abbatiale de Saint Jouin de Marnes
Maria-Ecclesia
Majestas virginis, fol 165v




Dirk II et son épouse Hildegard demandent l’intercession de St. Adalbert, patron de l’abbaye d’Egmond
Evangéliaire de St Maximin de Trèves, vers 1000, BNF NAL 1541 fol 2r, Gallica
fol 1r
fol 1v
Lectionnaire de l’office de l’abbaye S. Pierre de la Couture du Mans, 1100-20, Le Mans BM 214 fol 33v, IRHT
Saint Luc, fol 105v
Initiale Q, fol 106r
Christ en majesté (antependium de l’Autel de Deusdedit), vers 1000

Abside de l’église d’Areines, vers 1150
Abside centrale de la crypte, église de Saint Aignan sur Cher, vers 1200
On pense qu’il transmet ainsi à Saint Jacques le pouvoir de soigner les malades, dont l’un, tenant sa canne entre ses avant-bras, se prosterne devant le saint.
De l’autre côté, un cul de jatte avec ses fers rampe par antithèse vers les pieds du Christ. Derrière lui, un autre infirme se tourne vers Saint Pierre, une pièce de monnaie à la main droite.
Le geste de la main droite du Christ est très effacé, mais on devine qu’il tient au bout de ses doigts une autre pièce, exactement au centre d’une des ondulations de la mandorle. On pourrait croire qu’il la donne ou la reçoit de saint Pierre au travers de la mandorle, mais le fait que celui-ci élève la main néfaste, la gauche, exclut tout circuit financier direct.
Vision d’Ezéchiel
Il s’agit effectivement d’un jeu graphique : sa forme, faite de cinq disques, reprend en réduction le schéma de la scène (le médaillon divin entouré des quatre médaillons des anges), lequel évoque à son tour les roues d’Ezéchiel qui s’entrelacent au centre de la page.
Frontispice du Livre de Josué
Bannière de Saint Odon (Sant Ot) 1095-1122, Musée du textile, Barcelone
Antependium de Saint Martin d’Hix, 1125-50, MNAC, Barcelone
Deutéronome 33
La prosternation des vieillards
Ivoire espagnol
Saint Augustin, Errationnes in Psalmos, 1087, Valenciennes BM 39 fol 9, IRHT
fol 9v
fol 10r
Quant à la figure centrale, elle représente la Sagesse, comme l’indique le texte au dessus et en dessous :
Le début de la Création de Dieu (Initium creaturae dei) (détail)
Psautier glosé
La Trinité
Ascension du Christ, abside de San Pietro di Tuscania
Ascension du Christ
Plaque de métal décorant le plat inférieur des Evangiles de Poussay
Moralia in Job de Grégoire le Grand, début du chapitre XXXV, 1150, Tours BM MS 321 fol 330v, IRHT
Jugement universel de San Gregorio Nazianzieno, Pinacothèque du Vatican.
Sceau de Heinrich III 1047-1056 [6]
Diptyque consulaire de Magnus, 518, Louvre, Paris
Tessères en os, Musée gallo-romain de Saint Gal

Constantius II, Chronographie de 354, MS Barberini, Bibliothèque du Vatican
Diptyque d’Anastasius, probable copie carolingienne en os de baleine, Département des Monnaies, BNF
Lex Salica, 9ème siècle, BNF Lat 4787 fol 95v, Gallica
Charlemagne et son fils Pépin d’Italie, fol 154v
Les quatre législateurs saliens WISEGAST, AREGAST, SALEGAST et BEDEGAST, fol 11v
L’Empereur Auguste ordonnant le recensement
Histoire de Job
fol 2v
fol 3r
Beatus de saint Sever, vers 1050, fol 121v-122r, MS Lat.8878 BNF gallica (détail).
PSAUME 18 fol 10v, psautier d’Utrecht
Reliure des Pericopes d’Henri II (détail), 840-70, Münich BSB Clm 4452 [5] Celia Chazelles
Le Roi David
Cassiodore, Commentaire sur les psaumes, 725-50, Cathedral Library, MS. B.II.30 fol 172v, Durham.
Avant 1070, mosaïque du pavement de la crypte, Sankt Gereon, Cologne
Blanche de Castille et Saint Louis 
Page finale (détail), fol 246r
Fol 329v
Fol 423r
Fol 1v
Fol 2r

Charles le Chauve, fol. 3v
Saint Jérôme, fol 4r
Ivoire byzantin dit « sceptre de Leon VI », Bode Museum, Berlin
Fol 6v




Charles le Chauve, Bible de Saint Paul hors les murs, fol 1r

Slavinia, Germania, Gallia et Roma rendent hommage à Otton III
Le Christ couronnant Henri II et Cunégonde
Evangile d’Henry II, vers 1020, Ottobon lat.74 fol 193v Bibliothèque vaticane
Frontispice de la Préface d’Isaïe, fol 125r
Médaillon de l’abbé Alcuin, fol 5v (détai)
La Genèse, fol 7v
Frontispice de la Préface et du Livre d’Isaïe, fol 137r
Majestas Agni, fol 339v
Frontispice de l’Epitre aux Romains, fol 399v
Poème à Charles, fol 1v
Poème à Charles, fol 2r
Incipit de la Préface de Saint Jérôme à la Vulgate, fol 8r
Table des matières de la Genèse, Fol 9r
Fin de la Table des matières de la Genèse, Fol 9v
Le péché originel (détail), fol 10v
Frontispice de la Genèse (détail) , BNF MS Lat 1 fol 11r
Texte de la Genèse, fol 11v

Texte de la Genèse, fol 12r
Début du Livre de Jérémie, fol 146 r

Judas marchand
Genèse
Majestas Dei
Frontispice de Matthieu, fol 33v
Frontispice de Marc, fol 80r
Fol 2
Fol 2 (détail)
La Trinité
Sacramentaire de Charles le Chauve, vers 869-870, BnF, Manuscrits, Latin 1141 fol. 6r gallica
Denier de Charlemagne
Incipit de l’Evangile de Matthieu, fol 16r
Le Christ barbu adoré par la hiérarchie céleste, fol 6r
Crucifixion, fol 6v
Fol 15r
Fol 15v
Fol 2
Fol 3
Fol 11v
Fol 12
Fol 15v
Fol 16
Fol 7v
Fol 8r
Fol 58v
Fol 59r
Fol 59v
Fol 60r
Fol 69v
Fol 70
Fol 71r
Fol 71v
Fol 1v
Fol 2r




Rota sur un privilège de juin 1159 du roi Guillaume Ier de Sicile
Psautier, Londres, 1262–1300, MS 28681 , f. 9r
Gossouin de Metz, L’Image du Monde, 1320-25, BnF, Français 146 fol 136v, Gallica (détail)

Lettre Alpha
Beatus de Turin, Bibl. Naz. Universitaria, J.II.1, f. 2r
Frontispice du Livre d’Isaie
Maiestas Domini fol 16v

Evangile dit de Charles IX, 880-900, MS Lat 269 fol 37r, Gallica
Fol 36v
Saint Vital, Ravenne
Sacramentaire de Charles le Chauve, vers 869-870
Evangéliaire de Weingarten, vers 830, HB II 40 fol 1v, Württembergisches Landesbibliothek Stuttgart
Bible de Moutier-Grandval, vers 840, British Museum, Londres, Ms. Add. 10546, f 352 v

Psautier d’Utrecht, Psaume 109, fol 64v
9-10ème siècle, Espagne, British Museum
Evangéliaire de Notger, vers 1000, Liège, Musée Grand Curtius
Le Christ imberbe adoré par les Anges, fol. 5r
Vers 1100, église Saint-Nicolas-les-Marchaux, Autun, Photo J.Rollier
Vita et miracula s. Mauri, vers 1100, Troyes, BM ms. 2273, fol. 43v, IRHT
Vieillards de l’Apocalypse, fresques de la nef, 1175-1200, Saint Junien (Limousin)
Vieillard de l’Apocalypse
Fresque d’Hérode


Quatre moines offrant deux livres au Christ
Codex Aureus de Saint Emmeran, vers 870, Bayerische Staatsbibliothek, Munich
Partie centrale de la reliure
Evangiles de Noailles, BNF Lat 323, Gallica
Evangiles de Noailles, 850-75, BNF Lat 323 fol 13v Gallica
Evangiles, vers 900, La Haye MMW, 10 B 7 fol 11v
Majestas Dei, 900-1000, Vallée de la Meuse, Victoria and Albert Museum
Isaias glossatus, vers 1000, Bamberg Staatsbibliothek, Msc Bibl.76 Bl 10v
On notera le caractère puissamment expressionnistes des nuages bleus et roses, et des éclairs dorés et argentés, qui tels des doigts griffus s’échappent des deux moitiés du trône.
Frontispice du prologue de Jean, Evangéliaire de Bernward de Hildesheim, 1015, musée de la cathédrale de Hildesheim, Hs 18 fol-174r
Le trône de Dieu (Apocalypse 4) Fol 10r
Fol 10v
Fol 11r
Christ à la faucille
Manuscrit ottonien, vers 950, Abbaye de Corvey, MssCol 2557, New York Public Library
Majestas Domini, 800-1000, Berlin Staatsmuseum
Plaques de reliure d’un antiphonaire, montées ensuite en diptyque, provenant de l’abbaye bénédictine de Luttich, 900-920, Hessisches Landesmuseum Darmstadt
Majestas Domini, 900-1000, Victoria and Albert Museum
Majestas Domini, 900-1000, Victoria and Albert Museum
Liber aureus de Freckenhorst, vers 1050 , LWL Museum Kunst und Kultur, Münster
Majestas et Saint Grégoire
800-900, Voûte de la crypte, église de Ternand

Relevé Anatole Dauvergne, 1851, Médiathèque de l’architecture et du patrimoine, Charenton-le-pont
Etat actuel
Structurée par une série rigoureuse de cercles, la composition est divisée en deux grandes zones par un grand cercle (en jaune) :



Le Christ bénissant St Géréon et St Victor, vers 1000, Schnütgen Museum Koln
L’Empereur Heinrich III et son épouse Agnès
Ivoire ottonien, vers 1050, British museum
Le Christ donnant la clé à saint Pierre et la Loi à saint Paul.
Vers 1100, Notre Dame la Grande, Poitiers


Chapelle Saint Gilles, Montoire du Cher
Jorand, Gazette des beaux-arts,1933-2, p 193
Jorand, gallica
Relevé de Breton, 1851 (détail)
Jorand, Gazette des beaux-arts,1933-2, p 193




Jorand, Gazette des beaux-arts,1933-2, p 193
Jorand, gallica
Majestas, Ancien tympan du portail central (extérieur), dessin de Viollet le Duc, 1856
Pentecôte, Tympan du portail central du narthex