Cette série d’articles défriche un point d’iconographie resté inexploré : dans les Crucifixions ou les Dépositions, il arrive qu’un des Larrons soit représenté de dos, le plus souvent le Mauvais, mais quelquefois le Bon
Après les larrons vus de dos dans les calvaires plans, passons maintenant au cas très différent des calvaires vus de bais, en commençant par les tout premiers : dans les pays germaniques.
Après les calvaires vus de biais germaniques, passons un peu plus au Nord, où une formule moins excentrique va permettre de concilier la modernité de la perspective avec la centralité de la Croix.
A partir du 17ème siècle, la formule reste rare, mais il serait fastidieux d’en faire un inventaire exhaustif.
Ce chapitre se contente donc de présenter quelques réalisations frappantes, et quelques cas où la filiation est certaine.
Le Larron isolé de Robert Campin a fait longtemps fait l’objet d’une bataille iconographique : il a tous les attributs du Bon mais ils est à l’emplacement du Mauvais !