Au point de sophistication où en est arrivé la traque universitaire des phallus refoulés ou défoulés, vaut-il encore la peine d’ajouter au catalogue ? Ces trois articles présentent, à côté d’exemples connus, quelques cas intéressants qui ont échappé aux spécialistes.
Certains objets malchanceux souffrent d’une forme qui les rend suspects au premier coup d’oeil.
Dans les cas que nous avons vu jusqu’ici, les objets suggéraient l’organe masculin soit par leur forme intrinsèque, soit par leur contexte. On examine ici des compositions plus ambitieuses, où l’objet est mis en scène pour évoquer une situation érotique précise.
Les images de la Luxure avec un oiseau sont rares, et semblent avoir été réinventées sporadiquement sans suivre une trajectoire iconographique unique.
Abraham Janssens, premier peintre d’histoire à avoir importé à Anvers les acquis du caravagisme, a été totalement éclipsé par la figure écrasante de Rubens. Cet article propose une sélection de ses oeuvres allégoriques ou mythologiques les plus originales er amusantes.
La symbolique phallique des volatiles, notamment à long cou, est bien connue. On se demande ici dans quelle mesure le « cuniculus » pouvait être compris comme le symbole du sexe opposé.
On discute ici de coïncidence iconographique : un même motif qui revient, pour des raisons très différentes, sous le pinceau de trois artistes majeurs.
Cet article présente quatre études indépendantes, qui ont toutes plus ou moins à voir avec la capture ou le dressage, par des mains féminines, des petits oiseaux.