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– Trottoirs de Paris

L’acte de peindre n’est pas montré ici sous son aspect musculaire, mais mental.

Le voici, le véritable rival du flâneur tiré à quatre épingles : un rival à quatre pattes, un flâneur professionnel, la truffe au ras des robes et la queue haute.

On se sait si ce sont les accessoires qui s’adaptent aux corps, ou les passants qui servent de prétexte à une exhibition de pépins.

Les trois tableaux-choc de 1877 constituent clairement non pas un tryptique, mais une sonate picturale en trois mouvements : un mouvement gris, un mouvement chaud et sec, un mouvement froid et humide.