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Interprétations

Imaginons deux personnages en toge faisant irruption dans un bar de la City, où cinq traders en costard-cravate énumèrent leurs stock-options. C’est l’idée-choc de Caravage

Un an avant sa mort, Somov se risque enfin à fusionner, dans un miroir ovale, ses véritables amoureux.

Le peintre Apelle avait peint avec une telle vérité et un tel amour la belle Campaspe, la favorite de l’empereur Alexandre, que celui-ci la lui donna en récompense.

Ce papier se limite à l’Art occidental et à un seul symbolisme : celui du papillon dans ses rapports avec la mort, matérialisée par un crâne.

Où l’on propose une interprétation d’ensemble de la Vanité de de Gheyn – basée sur l’opposition entre Démocrite et Héraclite.

Nous allons passer en revue différentes manières de se « prendre en tableau » à l’aide d’un miroir.

Dans lequel le peintre se marginalise ou se miniaturise, tout en contrôlant le regard.

La figure du peintre englobé dans son miroir comme une Tour Eiffel dans sa boule prend sa source dans les Vanités, et se prolonge dans un pur exercice de style.

Le miroir permet des constructions complexes, des sortes de devinettes visuelles, auxquelles très peu d’artistes se sont essayés.

Placé face au spectateur, le miroir lui montre ce qui se trouve derrièe lui, dans une sorte de champ-contrechamp pré-cinématographique.