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Interprétations

Ces trois articles étudient les rares Annonciations en diagonale qui ont émergé dans le courant du XVème siècle, pour aboutir à deux gravures très originales d’Altdorfer. Commençons par le cas où c’est l’ange qui se décale au premier plan.

Ce dispositif pose immédiatement problème puisque la Vierge, personnage principal, ne peut être montrée de dos. On en arrive donc à la conception bizarre d’un ange arrivant en catimini, par derrière.

Ce dernier article analyse les deux Annonciations en diagonale  totalement atypiques, gravées par Altdorfer en 1513. Puis parcourt rapidement les rares Annonciations en diagonale qui ont suivi, du XVIème au XXème siècle.

Cet article prolonge la monographie de Christian Heck et analysant dans le détail les sculptures de la tribune, la roue à livre et le singe.

Cet article étudie les mouche dans un contexte sacré : en présence de l’Enfant Jésus, ou du Christ.

Comprendre pourquoi Goltzius a choisi de s’incarner en personne dans trois scènes, et dans ces trois scènes seulement.

Commençons par le cas le plus intéressant par les énigmes qu’il pose, celui des revers à thème allégorique.

Les tout premiers portraits réalistes étaient des objets officiels et de grand prix, ayant à voir avec la Renommée et avec l’Immortalité. Ils étaient donc très souvent protégés par un couvercle de bois, lui-aussi peint et parfois tout aussi richement, qu’on ne faisait coulisser que dans les grandes occasions.

Le revers à thème religieux relèvent-ils de la même logique que les revers allégoriques, fournissant un portait abstrait mas en puisant à un registre chrétiens ? Où relèvent-il d’une logique propre ? Nous allons voir que les exemples, peu nombreux, relèvent d’intention variées.

Ce premier article est consacré aux revers qui fonctionnent, à la manière d’un sceau, en tant que marque de propriété ou d’élément d’authentification.