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Interprétations

Cet article prolonge la monographie de Christian Heck et analysant dans le détail les sculptures de la tribune, la roue à livre et le singe.

Cet article étudie les mouche dans un contexte sacré : en présence de l’Enfant Jésus, ou du Christ.

Comprendre pourquoi Goltzius a choisi de s’incarner en personne dans trois scènes, et dans ces trois scènes seulement.

Commençons par le cas le plus intéressant par les énigmes qu’il pose, celui des revers à thème allégorique.

Les tout premiers portraits réalistes étaient des objets officiels et de grand prix, ayant à voir avec la Renommée et avec l’Immortalité. Ils étaient donc très souvent protégés par un couvercle de bois, lui-aussi peint et parfois tout aussi richement, qu’on ne faisait coulisser que dans les grandes occasions.

Le revers à thème religieux relèvent-ils de la même logique que les revers allégoriques, fournissant un portait abstrait mas en puisant à un registre chrétiens ? Où relèvent-il d’une logique propre ? Nous allons voir que les exemples, peu nombreux, relèvent d’intention variées.

Ce premier article est consacré aux revers qui fonctionnent, à la manière d’un sceau, en tant que marque de propriété ou d’élément d’authentification.

Cet article est consacré aux diptyques conjugaux à revers armoriés, qui ne concernent que les pays du Nord (Allemagne, Hollande).

Certains diptyques ou triptyques ont pour fonction de mettre en scène le ou les donateurs face à l’objet de la dévotion. Parfois leurs armoiries s’ajoutent à cette présence, parfois elles s’y substituent.

L’ange porteur de couronne (stéphanophore) est un motif très courant. Cet article est consacré à une variante gothique très particulière, où l’ange élève symétriquement deux couronnes de part et d’autre de sa tête.