= PEINTRES =

Ce tableau qui se voulait une leçon d’anatomie comparée, nous en propose involontairement une autre : celle de l’anatomie d’un ratage.

1 : Jésus et Ney

Au Salon de 1868, Gérôme se risque à exposer deux oeuvres qui tranchent avec ses productions habituelles : toutes deux représentent une exécution capitale, toutes deux nous montrent le regard rétrospectif des bourreaux sur leurs victimes, toutes deux tirent leur force dramatique de procédés novateurs…

2 : Ney est mort

Soixante ans après le drame, Gérôme crut désamorcer la polémique par l’exactitude scrupuleuse des détails, qui illustrent quasi littéralement le récit de l’historien Achille de Vaulabelle

3 : Ney n'est pas mort

…jusqu’au moment où l’abstention de l’artiste conduit à la sous-détermination du sujet.

1 : Les hommes de l'estran

Ce tableau est malicieux…

2 : La marche à la limite

Le sujet du tableau et sa composition, très singulière, en font l’illustration d’une théorie de la limite…

3 : Victoire sur la plage

…en lieu et place des croupes blanches des percherons, admirons les faux-culs jumelés des élégantes.

Liquéfactions parisiennes

En 1867, Monet obtient la permission de planter son chevalet sur la colonnade du Louvre. De là, il peint deux tableaux qui montrent la même vue de Paris, mais qui s’opposent par le cadrage, la saison… et la présence ou la disparition d’une célèbre parisienne !

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