Deux panneaux jumeaux de Memling sont doublement énigmatiques : par leur fonction, à une période où la notion de « pendants » se s’est pas encore détachée d’une utilisation pratique comme panneaux d’un retable ; par leur sujet profane, à une période où la quasi totalité des diptyques et triptyques s’inscrivent dans un cafre dévotionnel (voir Les […]
Au point de sophistication où en est arrivé la traque universitaire des phallus refoulés ou défoulés, vaut-il encore la peine d’ajouter au catalogue ? Ces trois articles présentent, à côté d’exemples connus, quelques cas intéressants qui ont échappé aux spécialistes.
Certains objets malchanceux souffrent d’une forme qui les rend suspects au premier coup d’oeil.
Dans les cas que nous avons vu jusqu’ici, les objets suggéraient l’organe masculin soit par leur forme intrinsèque, soit par leur contexte. On examine ici des compositions plus ambitieuses, où l’objet est mis en scène pour évoquer une situation érotique précise.
Les images de la Luxure avec un oiseau sont rares, et semblent avoir été réinventées sporadiquement sans suivre une trajectoire iconographique unique.
Abraham Janssens, premier peintre d’histoire à avoir importé à Anvers les acquis du caravagisme, a été totalement éclipsé par la figure écrasante de Rubens. Cet article propose une sélection de ses oeuvres allégoriques ou mythologiques les plus originales er amusantes.
Le thème de la « musca depicta » a été beaucoup étudié. Cet article se focalise sur la préhistoire du motif, entre 1430-40 et 1480-1500. Il redonne la parole à ces premiers témoins, dans toute leur singularité. Et certains vont nous dire des choses assez différentes de ce qu’on entend d’habitude.
Ce dispositif particulier se développe lors de la Renaissance italienne, et consiste en deux figures l’une vue de face et l’autre vue de dos, disposées symétriquement.