Le Soleil, astre principal et au nom masculin, se trouve presque toujours à gauche, et la Lune à droite, en application de l’ordre héraldique entre mari et femme qui vaut pour tous le couples réguliers. Ce premier article est consacré aux inversions Lune-Soleil dans l’art gréco-romain classique.
Cet article est dédié à une formule rare, : celle où deux autorités sont côte à côte. Se pose alors la question de qui occupe la place d’honneur. Nous examinerons successivement le cas des couples impériaux, du couple Hélios / Séléné et enfin du couple Sérapis / Isis.
Dans l’Antiquité, les symboles de l’étoile et du croissant apparaissent fréquemment en couple, et souvent dans l’ordre croissant-étoile. Mais pour parler d’inversion, encore faut-il pouvoir les interpréter comme le soleil et la lune.
Cet article examine les différentes divinités masculines autour desquelles on peut trouver le couple étoile-croissant : Hélios, Sérapis, Harpocrate, un aigle, et plus rarement Zeus.
Cet article examine les différentes divinités féminines autour desquelles on peut trouver le couple étoile-croissant : Aphrodite, Artémis, Héra et quelques déesses orientales.
Cet article examine les rarissimes inversions Lune-Soleil dans certains cultes « orientaux » dont on ne sait pas grand chose : celui de Mithra, des Cavaliers danubiens, de Jupiter Dolichénien, de Sabazios et du Cavalier thrace.
Dans les oeuvres chrétiennes, l’immense majorité des couples Soleil-Lune se trouve dans les Crucifixions. Cet article regroupe d’autres cas, soit antérieurs à l’apparition de l’iconographie de la Crucifixion, soit figurant dans d’autres contextes.
Cet article est dédié à un cas particulier : les inversions Lune-Soleil qui apparaissent dans la représentation du Quatrième Jour de la Genèse : la création des luminaires.
Le couple Soleil-Lune n’est qu’une parmi les diverses polarités qui se sont mises en place au cours du temps dans l’iconographie de la Crucifixion. Cet article introductif recense ce qui a été écrit pour expliquer la présence du couple des luminaires dans la scène sacrée, fait le point sur les différentes hypothèses quant à son origine, et reprend les explications qui ont été avancées pour les rares inversions Lune-Soleil.