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Nous allons nous essayer à une dernière lecture selon le carré, celle que nous avons éludée jusqu’ici : la lecture chronologique, dans l’ordre des numéros de case.

Les ressources d’Internet donnent maintenant accès à de nouveaux rapprochements qui n’auraient pas été envisageables auparavant. Mis à part les chapitres de synthèse du début, les vues exposées dans cette étude sont donc largement originales.En voici la récapitulation

Pourquoi n’a-t-on pratiquement jamais représenté comme ronde la pierre qui fermait le tombeau de Jésus ?

Lecture détaillée de la gravure, sous l’angle très précis de Saint Jérôme, patron des traducteurs .

Où l’on tente de reconnaître dans la calebasse de Saint Jérôme la cucurbite de l’Alchimiste. Et d’éclaircir quelques points à la lumière du Splendor Solis.

A ne lire que par ceux qui apprécient les parallèles acrobatiques et les constructions fragiles.

Comment admettre qu’en partant des gribouillages médiévaux, Dürer ait pu du premier coup produire deux gravures alchimiques aussi sophistiquées ?

A l’Accademia de Venise sont conservés quatre petits panneaux allégoriques de Bellini, plus un cinquième qui leur a longtemps été associé.
Bref panorama de ce casse-tête, l’un des plus célèbres de l’Histoire de l’Art.

Le geste du doigt pointé est un des plus répandu en peinture : mais avant l’époque moderne, presque aucun peintre n’a osé le diriger vers le spectateur.

Le crâne de cheval revêt, dans la peinture flamande, des significations diverses et souvent mal comprises. Petit catalogue d’exemples, en commençant par les cas où la tête de cheval est un élément du paysage.