Dans trois tableaux énigmatiques, Pierre Carrier-Belleuse a utilisé le même décor ferroviaire pour mettre en scène des rencontres bizarres, illustrant tantôt la petite histoire familiale, tantôt la grande…
Dans cette série de tableaux, Shakespeare et la morale victorienne sont convoqués dans deux wagons pour une constatation édifiante :
en Première Classe, on est plus heureux qu’en Seconde.