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– Paragone

1 Les figure come fratelli : généralités

Ce dispositif particulier se développe lors de la Renaissance italienne, et consiste en deux figures l’une vue de face et l’autre vue de dos, disposées symétriquement.

2 Les figure come fratelli dans les Flagellations

Ce deuxième article analyse un cas où la formule répond à une nécessité logique et non purement esthétique : il l’étudie séparément, en dehors de la chronologie générale du motif.

3 Les figure come fratelli : autres cas

Ce troisième article parcourt d’autres cas particuliers et les replace dans la chronologie d’ensemble.

4 Les figure come fratelli : postérité

Ce dernier article donne quelques exemples de la postérité de la formule à l’époque moderne.

Le paragone chez Gérôme

Dans sa double carrière de peintre et de sculpteur, Gérôme n’a pas cessé de peindre des statues, dans les deux sens du terme : en les intégrant dans ses tableaux et en leur ajoutant une polychromie. Il est à ce titre reconnu comme un acteur majeur du « paragone » au XIXème siècle

Le paragone chez Burne-Jones

Bien que Burne-Jones n’ait pas laissé d’écrit théorique sur le paragone, il en a assimilé la problématique, qui transparaît dans plusieurs de ses oeuvres.

Comme une sculpture (le paragone)

Cet article aborde la question du paragone par le petit bout de la lorgnette : à savoir quelques stratagèmes par lesquels les Peintres ont prétendu marquer un point, en présentant simultanément plusieurs vues du même objet.