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= PEINTRES =

  Pendants d’histoire   Le Jeu de l’Oye Chardin, Salon de 1743 , gravure par Surugue fils (inversée Gauche Droite) Les tours de carte Chardin, Salon de 1743 , Dublin National Gallery of Ireland Dans Le jeu de l’Oye, les trois enfants, debout autour d’une table pliante, sont mis à égalité : la grande fille […]

Très volumineuse et très bien connue, l’oeuvre de Boucher comporte de nombreux pendants. Je les présente par ordre chronologique à l’intérieur de grandes catégories : commençons par les pendants mythologiques et allégoriques.

Contrairement à son maître Boucher, Fragonard a très peu pratiqué les pendants. Je n’en ai repérés que douze, mais l’un d’entre eux est certainement le plus non-conventionnel de la période, et le plus mal compris.

A la fin de l’age classique, les pendants de Gérard de Lairesse constituent un sommet de complexité et d’hermétisme. Je les présente ici non par ordre chronologique (qui est très incertain), mais par ordre de difficulté croissante. Sauf indication contraire, le explications proviennent de l’ouvrage de référence d’Alain Roy, « Gérard de Lairesse (1640-1711) », que j’ai […]

Le peintre maniériste Spranger a peint a peu près tous les couples de divinités possibles pour le cabinet des Merveilles du nouvel empereur Rodolphe II, bien connu pour ses goûts ecclectiques (curiosités de la Nature, mythologie, alchimie, érotisme). J’étudie ici cinq de ces probables pendants du point de vue de leur logique interne.

En se démarquant du classicisme romain de Poussin ou de Claude Lorrain, Salvator Rosa invente un pré-romantisme napolitain dans lequel des paysages tourmentés et grandioses vont prendre de plus en plus d’importance, par rapport à la scène qui leur sert de prétexte : rochers, arbres et plans d’eau deviennent des acteurs à part entière.

Malgré les nombreuses études qui leur ont été consacré, ces deux panneaux restent une épine dans le pied de l’Histoire de l’Art de la Renaissance. Cet article tire parti de la somme éditée récemment par le Metropolitan Museum pour pousser un peu plus loin les hypothèses.

Lecture transversale de quelques oeuvres de Konrad Witz, dans l’idée de mettre en évidence trois procédés qui me semblent caractéristiques de son style : l’effet de loupe, les contre-pieds et les rébus.

Un cas très particuliers de donateurs dans une Annonciation : au rez-de-chaussée d’un décor à plateaux.

Où le donateur prend place au sein d’une architecture qui parle.