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Les théories ne manquent pas sur le rôle du miroir dans l’art , sur la raison pour laquelle il s’est brusquement développé chez les primitifs flamands. Plutôt que de reprendre ces théories impossibles à prouver sur un effet de mode dont il ne nous reste que des exemples épars, je propose ici un catalogue quasi exhaustif de ces exemples, classés selon la chronologie généralement admis

Ces deux artistes n’ont réalisé des pendants qu’au moment de leur influence mutuelle, sur une très courte période de 1888 à 1892. Je les présente donc dans le même article, classés chronologiquement.

Cet article est consacré au différentes manières de dissimuler un crâne au premier regard, stratégie payante pour un effet Eurêka qui frappera d’autant plus le spectateur.

D’autres procédés ingénieux pour faire surgir le crâne sans l’exhiber…

Un emplacement privilégié pour l’apparition théâtrale de la Mort : le revers d’un volet de diptyque ou de triptyque.

Le comble de la Nudité : le squelette.

Au XIXème siècle, certains artistes investissent leur mannequin d’une dimension polémique, onirique, esthétique, érotique, théorique…

Inventé par De Chirico pendant la première Guerre mondiale, le mannequin a fait carrière en Italie plus que partout ailleurs : emblème d’abord de la peinture métaphysique, puis signe de ralliement de ceux qui se réclament d’un retour à la tradition.

A partir de 1900, l’escrimeuse devient un même américain explosif, dont on peut faire la généalogie précise.

J’ai traité à part l’histoire compliquée de deux très célèbres tableaux, qui commence un peu avant la période arlésienne et s’entend presque jusqu’à la mort de Van Gogh. Elle permet de suivre quasiment au jour le jour l’évolution d’une idée : variante, puis série, puis triptyque, puis finalement pendant.