Dans trois tableaux énigmatiques, Pierre Carrier-Belleuse a utilisé le même décor ferroviaire pour mettre en scène des rencontres bizarres, illustrant tantôt la petite histoire familiale, tantôt la grande…
Dans cette série de tableaux, Shakespeare et la morale victorienne sont convoqués dans deux wagons pour une constatation édifiante :
en Première Classe, on est plus heureux qu’en Seconde.
Un couple cerné par les reflets, confiné dans cette chambre autarcique, assimilé à un effet d’optique, réduit à la vanité d’une existence sous verre…
Tableau très abouti d’un peintre peu connu, « Rédemption » développe la formule du Sacré dans le Salon, qui fit florès à la fin du XIXème siècle.
« l’une des plus brillantes peintures d’histoire de la deuxième moitié du XIXe siècle, trop longtemps reléguée au rang de vignette illustrée pour manuels d’après-guerre »
Augustus Egg est bien connu pour ses « problem pictures », des tableaux moralisants dont de nombreux indices permettent de déchiffrer le sens. Mais la dernière de ses peintures pose une énigme sur l’énigme : faut-il, ou pas, le lire comme un « problem picture » ?