Cet article présente quatre études indépendantes, qui ont toutes plus ou moins à voir avec la capture ou le dressage, par des mains féminines, des petits oiseaux.
Amazones ou Dianes chasseresses, les archères abondent dans l’art occidental. Mais celles qui visent le spectateur droit dans les yeux n’apparaissent que très tardivement, dans les pays anglosaxons [1] : la double transgression de la femme qui vous perce du regard et de la flèche ne fait fantasmer que dans les pays où l’arc signifie […]
Petit panorama de l’évolution, au long du XXème siècle, de cette image culte, typiquement américaine.
Le basculement de la flingueuse « à chaud » en extérieur jour à la flingueuse « à froid » intérieurs nuit
Au milieu des années 60, la tueuse au regard d’acier n’est plus prise au sérieux. La formule va trouver un nouveau souffle dans une forme de second degré.
Au final, l’essentiel de la production Carrier-Belleuse a pour ressort l’érotisme.
Il est amusant de relever trois procédés permettant d’épicer un sujet sans tomber dans le trivial.
L’art de la Belle Epoque en a soupé du symbolisme : les métaphores de Pierre Carrier-Belleuse sont pour la plupart transparentes, et bien connues des amateurs depuis le XVIIème siècle. Article précédent : 2 Danseuses en combinaison Pierre Carrier-Belleuse, 1910 L’indiscret, Louis Leopold Boilly, vers 1795, Musée Cognacq-Jay Ainsi cette composition reprend, déguisés en Arlequins […]
Comment l’escrimeuse apparaît dans l’Art à la fin du XIXème siècle dans différents pays, avec des spécificités.
A partir de 1900, l’escrimeuse devient un même américain explosif, dont on peut faire la généalogie précise.