La formule consommateur/produit est une des plus utilisées dans les pubs, de par son caractère universel : elle marche pour tous les produits et tous les consommateurs. Sa faiblesse est son caractère répétitif.
Dans cette formule, en regard de la pages dédiée au produit, la marque offre une image attirante ou attrayante : une image-cadeau qui n’est jamais gratuite.
Construite dans la durée par certains des meilleurs illustrateurs du temps, l’iconographie de la marque Scandale mérite bien une rétrospective.
1951, Illustrateur Jean Léger, hprints.com Ayant assuré son hégémonie dans la gaine, Scandale joue de son image de marque pour attaquer, en 1951, le marché ultra-compétitif du bas. Article précédent : L’iconographie de Scandale (1/3) : du bas à la gaine… Bas Scandale ? Oui, Illustrateur Jean Facon Marrec, 1951 C’est encore Jean Facon Marrec qui, […]
Tout comme celui de De Gaulle, le règne de la gaine Scandale ne survivra guère à mai 68. Article précédent : L’iconographie de la gaine Scandale (2/3) : retour au bas… 1959-61 : la période Roger Blonde Le style, qui se voulait moderne, a aujourd’hui beaucoup vieilli. De cette période assez pauvre, je n’ai retenu que les […]
Nous n’avons plus de boucliers et nos miroirs sont plats. La vieille association d’idée, par la forme et par la fonction, entre l’attribut de Mars et celui de Vénus, entre l’instrument de la Vaillance et celui de Prudence ou de la Coquetterie, qui a été une évidence pendant des siècles, nous demande maintenant un effort de reconstruction.
La plupart des héros au bouclier datent de l’antiquité. Mais quelques boucliers-miroirs ont été réinventés par la suite…
Les théories ne manquent pas sur le rôle du miroir dans l’art , sur la raison pour laquelle il s’est brusquement développé chez les primitifs flamands. Plutôt que de reprendre ces théories impossibles à prouver sur un effet de mode dont il ne nous reste que des exemples épars, je propose ici un catalogue quasi exhaustif de ces exemples, classés selon la chronologie généralement admis
En Italie, l’esthétique des reflets sur la cuirasse se démarque rapidement de la méticulosité flamande, et conduit à des usages subtils et différenciés. Je reprends ici les analyses lumineuses que Diane H. Bodart a consacrées à la peinture vénitienne [1], en les complétant par d’autres exemples. Article précédent : 3 Reflets dans des armures : Pays […]