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Interprétations

Ces deux artistes n’ont réalisé des pendants qu’au moment de leur influence mutuelle, sur une très courte période de 1888 à 1892. Je les présente donc dans le même article, classés chronologiquement.

Cet article est consacré au différentes manières de dissimuler un crâne au premier regard, stratégie payante pour un effet Eurêka qui frappera d’autant plus le spectateur.

D’autres procédés ingénieux pour faire surgir le crâne sans l’exhiber…

Le dispositif le plus efficace pour produire un effet de stupeur est de cacher la figure de la Mort au revers d’un innocent portrait.

Un emplacement privilégié pour l’apparition théâtrale de la Mort : le revers d’un volet de diptyque ou de triptyque.

Cet article traite d’objets particulièrement adaptés à la Vanité des richesses, et dans lesquels apparaît de loin en loin, de manière épisodique, l’idée de faire surgir la Mort sous le précieux.

Le macabre a toujours été une branche florissante de l’orfèvrerie : bagues ornées de têtes de mort ou de squelettes, montres ou flacons en forme de crâne. Nous nous intéressons ici aux objets, moins fréquents, qui ne laissent voir la Mort qu’aux initiés.

Les figures macabres double-face (janiformes), sont pour la plupart des grains (patenôtres), provenant de chapelets en ivoire. On les date du début du XVIème siècle, et on leur attribue une origine française, hollandaise ou allemande.

Les figures macabres biparties s’étalent de la fin du XVIème siècle à nos jours. Ce sont des objets rares, pour cabinets d’amateur de curiosités.

Le comble de la Nudité : le squelette.