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= ICONOGRAPHIE =

Cette forme d’inversion s’explique par la position du couple lune-soleil relativement à l’édifice environnant. Elle concerne en premier lieu les Crucifixions, mais aussi d’autres thèmes justifiant la présence des luminaires, notamment les Majestés.

Il n’y a pas d’extrait, car cette publication est protégée.

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Cette fresque absidale découverte en 2017 et classée MH recèle d’intéressants problèmes iconographiques. L’article propose quelques pistes de réflexion dans l’état actuel des recherches, et dans l’attente de la publication de l’ouvrage sur l’édifice que Mr Fréderic Mérit, chercheur indépendant, est en train de finaliser.

Le Soleil, astre principal et au nom masculin, se trouve presque toujours à gauche, et la Lune à droite, en application de l’ordre héraldique entre mari et femme qui vaut pour tous le couples réguliers. Ce premier article est consacré aux inversions Lune-Soleil dans l’art gréco-romain classique.

Cet article est dédié à une formule rare, : celle où deux autorités sont côte à côte. Se pose alors la question de qui occupe la place d’honneur. Nous examinerons successivement le cas des couples impériaux, du couple Hélios / Séléné et enfin du couple Sérapis / Isis.

Dans l’Antiquité, les symboles de l’étoile et du croissant apparaissent fréquemment en couple, et souvent dans l’ordre croissant-étoile. Mais pour parler d’inversion, encore faut-il pouvoir les interpréter comme le soleil et la lune.

Cet article examine les différentes divinités masculines autour desquelles on peut trouver le couple étoile-croissant : Hélios, Sérapis, Harpocrate, un aigle, et plus rarement Zeus.

Cet article examine les différentes divinités féminines autour desquelles on peut trouver le couple étoile-croissant : Aphrodite, Artémis, Héra et quelques déesses orientales.