Où l’on découvre, en les analysant dans leur contexte, que certaines drôleries gothiques tiennent sur le singe au miroir un discours intelligible, et varié.
Les artistes commencent à donner au thème des significations variées, allant du simple emblème à des allégories plus personnelles et plus élaborées.
La figure du singe au miroir a perdu de son punch : elle se réfugie dans deux symboliques éprouvées, la Vue et l’Imitation. On note quelques nouveautés sans lendemain, puis la formule quitte les arts graphiques pour se réfugier dans les Fables.
A l’époque moderne, le singe au miroir oublie le passé et se réinvente dans des significations nouvelles.
Cet article regroupe, autour de deux oeuvres de Caravage, quelques autres tableaux où le gant joue un rôle-clé, passé totalement inaperçu.
La symbolique phallique des volatiles, notamment à long cou, est bien connue. On se demande ici dans quelle mesure le « cuniculus » pouvait être compris comme le symbole du sexe opposé.
On discute ici de coïncidence iconographique : un même motif qui revient, pour des raisons très différentes, sous le pinceau de trois artistes majeurs.
Poussin a séjourné à Paris entre 1640 et 1642, après quoi il est revenu définitivement à Rome jusqu’à sa mort en 1665. Cet article présente les pendants réalisée lors de ce second séjour.