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Interprétations

Cette formule rejette la séparation verticale entre Abraham et Isaac et les rend au contraire solidaires, à la manière d’un groupe sculpté. Elle construit un étagement dans la profondeur, l’Ange à l’arrière-plan et le Fils au première plan.

Le format horizontal force à cohabiter les deux protagonistes divins, l’ailé et le quadrupède. Le bélier devient alors une figure à part entière, dont la place est déterminante pour donner son sens à la composition. Selon ’emplacement des quatre membres du quatuor, nous serons amenés à distinguer quatre grands types de composition horizontale (H1 à H4).

Ce dernier article est consacré aux artistes qui ont traité plusieurs fois et selon des formules différentes le thème du Sacrifice d’Isaac. Nous verrons également quelques oeuvres atypiques.

Le Soleil, astre principal et au nom masculin, se trouve presque toujours à gauche, et la Lune à droite, en application de l’ordre héraldique entre mari et femme qui vaut pour tous le couples réguliers. Ce premier article est consacré aux inversions Lune-Soleil dans l’art gréco-romain classique.

Cet article est dédié à une formule rare, : celle où deux autorités sont côte à côte. Se pose alors la question de qui occupe la place d’honneur. Nous examinerons successivement le cas des couples impériaux, du couple Hélios / Séléné et enfin du couple Sérapis / Isis.

Dans l’Antiquité, les symboles de l’étoile et du croissant apparaissent fréquemment en couple, et souvent dans l’ordre croissant-étoile. Mais pour parler d’inversion, encore faut-il pouvoir les interpréter comme le soleil et la lune.

Cet article examine les différentes divinités masculines autour desquelles on peut trouver le couple étoile-croissant : Hélios, Sérapis, Harpocrate, un aigle, et plus rarement Zeus.

Cet article examine les différentes divinités féminines autour desquelles on peut trouver le couple étoile-croissant : Aphrodite, Artémis, Héra et quelques déesses orientales.

Cet article examine les rarissimes inversions Lune-Soleil dans certains cultes « orientaux » dont on ne sait pas grand chose : celui de Mithra, des Cavaliers danubiens, de Jupiter Dolichénien, de Sabazios et du Cavalier thrace.

Dans les oeuvres chrétiennes, l’immense majorité des couples Soleil-Lune se trouve dans les Crucifixions. Cet article regroupe d’autres cas, soit antérieurs à l’apparition de l’iconographie de la Crucifixion, soit figurant dans d’autres contextes.