Dans cette formule, en regard de la pages dédiée au produit, la marque offre une image attirante ou attrayante : une image-cadeau qui n’est jamais gratuite.
Construite dans la durée par certains des meilleurs illustrateurs du temps, l’iconographie de la marque Scandale mérite bien une rétrospective.
1951, Illustrateur Jean Léger, hprints.com Ayant assuré son hégémonie dans la gaine, Scandale joue de son image de marque pour attaquer, en 1951, le marché ultra-compétitif du bas. Article précédent : L’iconographie de Scandale (1/3) : du bas à la gaine… Bas Scandale ? Oui, Illustrateur Jean Facon Marrec, 1951 C’est encore Jean Facon Marrec qui, […]
Tout comme celui de De Gaulle, le règne de la gaine Scandale ne survivra guère à mai 68. Article précédent : L’iconographie de la gaine Scandale (2/3) : retour au bas… 1959-61 : la période Roger Blonde Le style, qui se voulait moderne, a aujourd’hui beaucoup vieilli. De cette période assez pauvre, je n’ai retenu que les […]
Cet article fait le point sur un type très particulier de barrière, assez fréquent dans la peinture flamande, avec une barre oblique qui dépasse, du côté des charnières, la traverse du haut : on la rencontre encore aujourd’hui en Grande Bretagne et dans certaines régions françaises (notamment le Cotentin) : 1912, Journal de la femme […]
Certaines figurations de Dieu en Majesté présentent des dissymétries étonnantes : cet article résume la littérature disponible et se fait sa propre opinion.
Hostie, petit monde, pièce de monnaie ? J’ai développé cette interrogation sur plusieurs articles, après avoir pris connaissance de deux études récentes.
Ce premier article est consacré à l’interprétation autrefois dominante, la théorie de l’hostie.
Dans ce type assez rare d’Annonciation, l’Ange se présente par la droite. Encore plus rares sont celles qui comportent un donateur.
Le peintre le plus célèbre de la première moitié du XVème siècle, Van Eyck, nous a laissé quatre images très différentes de Dieu en majesté, et qui comportent toutes des innovations iconographiques majeures.
Dans tous les exemples de Majestas domini que nous avons vus jusqu’ici, la présence d’un globe va toujours de pair avec la position assise du Seigneur : le XVème siècle va voir la réinvention d’une iconographie oubliée : celle du Christ debout sur un globe, précédée de peu par une autre image, où le Christ debout tient le globe dans sa main gauche : c’est la figure bien connue du Salvator Mundi.