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Interprétations

Seuls occupants, avec le pommier, du promontoire sacré, trois accessoires de voyage sont exposés sur le sol.

Cinq anges mettent la table et font le ménage, deux animaux contemplent d’un oeil humide cette scène digne d’un dessin animé…

De 1883 à 1887, un mariage malheureux passionna l’Angleterre : celui que mit en scène le peintre écossais Orchardson, dans une série de trois tableaux très révélateurs de l’esthétique et de la morale victorienne.

Ce tableau recèle deux mystères : celui de l’église inversée et celui du curé inversé.

C’est ainsi que la main de Mellan, plus sûre que celle d’Apelle, inventa le microsillon.

Constructions géométriques et syllogisme visuel…

Je viens de lire dans Centre-Presse (31 12 2011) l’article sur le linteau qu’on vient de mettre en place dans l’église de Bozouls. J’avais étudié cette pièce dans ma thèse sur La sculpture à Conques… et rapproché Bessuéjouls (t.II, p. 751 et 739. Album, fig. 680). C’est l’occasion de revoir le problème des relations avec […]

Une salle lumineuse, de larges miroirs, des dorures, deux joueurs et un buveur près de son verre… Avec Caillebotte, quatre ans après l’Absinthe de Degas, nous avons changé de quartier mais aussi d’univers…

Le plein air, la lumière du jour, les extérieurs ensoleillés, sont les ingrédients fondamentaux des peintres impressionnistes. Mais Caillebotte est peut-être celui qui a le mieux réussi, dans plusieurs oeuvres savantes et singulières, à prendre comme sujet principal du tableau cet héliotropisme, cet appétit immodéré d’extérieur.

Comme dans tout tableau comportant un miroir, se pose la question « où est le peintre ».La réponse nécessite une analyse précise de cette perspective singulièrement tarabiscotée, et va nous entraîner dans des réflexion en abymes.